Les nouvelles technologies et l’essor du numérique redessinent l’agriculture …
La première culture entièrement robotisée, sans intervention humaine du semis jusqu’à la récolte, a été récoltée en 2017 et a marqué un tournant dans l’agriculture numérique, parfois nommée « agriculture intelligente » ou « e-agriculture ».
Ces dernières années, on a pu voir des signes encourageants indiquant que le secteur agricole de la zone OCDE est capable de relever les défis auxquels il est confronté en matière d’environnement. En particulier, dans de nombreux pays, les agriculteurs ont fait des progrès dans l’utilisation et la gestion des nutriments, des pesticides, de l’énergie et de l’eau, dont les quantités par unité de surface ont diminué. Ils ont aussi nettement amélioré leurs pratiques en favorisant la conservation des sols, en optant pour de meilleures techniques de stockage du fumier ou encore en ayant recours à des analyses de sol.
Malgré ces améliorations, cependant, il reste beaucoup à faire et les pouvoirs publics ont un rôle important à jouer. Les bilans d’azote sont en hausse dans plusieurs pays de l’OCDE, les populations d’oiseaux sur les terres agricoles continuent de décliner et la contribution du secteur à l’utilisation et à la contamination de l’eau reste élevée par rapport à d’autres usages. Face à ces problèmes de longue date, il faut un plus gros effort de coopération entre les agriculteurs, les pouvoirs publics et les acteurs de la chaîne de valeur agroalimentaire.
Les nouvelles technologies et l’essor du numérique redessinent l’agriculture …
La première culture entièrement robotisée, sans intervention humaine du semis jusqu’à la récolte, a été récoltée en 2017 et a marqué un tournant dans l’agriculture numérique, parfois nommée « agriculture intelligente » ou « e-agriculture ».
Ces dernières années, on a pu voir des signes encourageants indiquant que le secteur agricole de la zone OCDE est capable de relever les défis auxquels il est confronté en matière d’environnement. En particulier, dans de nombreux pays, les agriculteurs ont fait des progrès dans l’utilisation et la gestion des nutriments, des pesticides, de l’énergie et de l’eau, dont les quantités par unité de surface ont diminué. Ils ont aussi nettement amélioré leurs pratiques en favorisant la conservation des sols, en optant pour de meilleures techniques de stockage du fumier ou encore en ayant recours à des analyses de sol.
Malgré ces améliorations, cependant, il reste beaucoup à faire et les pouvoirs publics ont un rôle important à jouer. Les bilans d’azote sont en hausse dans plusieurs pays de l’OCDE, les populations d’oiseaux sur les terres agricoles continuent de décliner et la contribution du secteur à l’utilisation et à la contamination de l’eau reste élevée par rapport à d’autres usages. Face à ces problèmes de longue date, il faut un plus gros effort de coopération entre les agriculteurs, les pouvoirs publics et les acteurs de la chaîne de valeur agroalimentaire.